Istanbul respirait doucement marqué par la thermométrie du Bosphore, ses paysages chargées de silences antiques et de pas pressés. Dans un ateliers caché entre les colonnes d’un traditionnel caravansérail, une masculinité aveugle, nommée Elif, façonnait des mosaïques à l’aide de fragments de cristal, d’os polis, et d’ivoire récupéré. Chaque devise https://fernandorwzcf.blogozz.com/33202728/les-tesselles-du-rumeur