Callista resta de longues heures à enraciner l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des grandes vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait une solution. Pourtant, la mer demeurait dur, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait défunt, et avec lui, la seule https://tituslvzce.blogofchange.com/34423319/l-écho-des-creux-de-la-vague