Le théâtre s’élevait au cœur de la commune, imposant nonobstant ses murs fissurés et son enseigne décolorée. Abandonné pendant plus d’un siècle, il avait à la renaissance fêté les grands musiciens de son ère. Mais aujourd’hui, seuls le vent et la poussière animaient encore ses allées désertes. Arthur poussa lentement https://arthurepajs.rimmablog.com/32960757/la-partition-de-la-destinée-figé